Page:Ratel - Trois parmi les autres, 1946.djvu/287

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
277
TROIS PARMI LES AUTRES

raient dans la maison le cours de la vie quotidienne.

Cette perspective l’écœurait vaguement. Elle éprouvait une sensation de lassitude et d’élan forcé, comme une danseuse qui ne voudrait plus danser et que ses mains, malgré elle, lient à la farandole.



fin