Cette page a été validée par deux contributeurs.
e me suis promené longtemps de
long en large dans ma chambre,
mon chapeau sur la tête, un
foulard autour du cou. Heureusement
que c’est une grande chambre.
C’est une bonne chambre, basse,
large et longue, d’ailleurs presque
vide, dont les deux fenêtres donnent
sur le jardin. On peut s’y lancer
devant soi en tout sens et un
peu au hasard, comme je fais, sans
trop risquer de s’y cogner à quelque