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Traité sur la nature des Dieux, plaide la cause des Academiciens qui doutoient de tout. Il est à remarquer cependant qu’il refute fort bien Epicure dans son premier livre, & que les objections qu’il fait dans son troisiéme comme Academicien, sont beaucoup plus foibles que les preuves fondées sur les merveilles de la nature, qu’il rapporte dans son second livre, pour démontrer l’existence d’une intelligence souveraine.
Dans ses autres ouvrages, & sur tout dans son livre des loix, il nous dépeint « l’Univers comme une Republique[1] dont Jupiter est le Prince & le pere commun. La
- ↑ Cic. de Leg. Ed. Amst. 1661 lib. 1. p. 1188. 1189. 1190. 1191, &c.
