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LE BAL DU COMTE D’ORGEL
Mahaut qui est folle de lui. Il faisait la cour à la nièce de Mirza, » murmura-t-elle, dans sa médisance simplette, à Paul Robin, émerveillé par les succès de François.
— François voudrait rester un peu avec vous, dit naïvement Anne d’Orgel à sa femme, devant les derniers partants, stupéfaits de cette complaisance.
— Non, non, s’écria Mme d’Orgel. Laissez-moi. Et comme ce cri pouvait surprendre, elle ajouta en lui tendant la main :
« Vous êtes trop bon, François, mais je vous assure, je n’ai besoin que de sommeil. »
— Je prendrai de vos nouvelles demain matin, dit Séryeuse.
Mahaut le regarda avidement disparaître dans l’autre pièce, accompagné par Anne.
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