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LE BAL DU COMTE D’ORGEL

qu’elle n’échappa ni à l’aveugle, ni au faible d’esprit. Elle n’était pas rassurée sur sa besogne auprès de Mme d’Orgel et auprès de son fils. Et surtout elle s’en voulait de cette flamme de jeunesse, vite éteinte, que le malheur de Mahaut avait fait jaillir en elle. Enfin elle se condamnait parce que M. de Séryeuse n’eût point accepté un tel rôle, et à plus forte raison qu’elle le jouât.

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