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Mme d’Orgel montra un vrai plaisir quand elle sut que Mme de Séryeuse désirait les connaître. Il lui plaisait de donner du sérieux à cette amitié.
Anne, lui, poussa ses cris habituels. Sur ces entrefaites, sa sœur parut. François estima convenable de l’inviter. Mais avant que la malheureuse eût pu répondre, Anne s’interposa : « Samedi, vous déjeunez chez tante Anna », dit-il.
François avait déjà entendu le nom de cette tante le jour où Mme d’Orgel le laissa en tête à tête avec le comte après le coup de téléphone de Paul Robin. Anne d’Orgel avait eu alors ce regard stupide qui signifiait qu’elle mentait. François se demanda même
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