j» E s TH B R,
A s A P H.
Mardochcc eft le nom que je viens de vous lire.
ASSUÉKUS.
Et fon pays î
A s A p H. Seigneur , puifqu'il faut vous le dir« ; C'eft un de ces captifs à périr deftinés , Des rives du Jourdain fur l'Euphrate amenés.
ASSUÉRUS.
Il eft donc Juif î O Ciel ! Sur le point que la vie
Par mes propres fujets m'alloit être ravie ,
Un Juif rend par fes foins leurs efforts impuiffans î
Un Juif m'a préfervé du glaive des Perfans ?
Mais, puifqu'il m'a fauve , quel qu'il foit , il n'importe^
Holà , quelqu'un.
��SCENE IV.
ASSUÉRUS, HÏDASPE,ASAP a
H Y D A s p E»
O EIGNEUR.
AsSUÉRUS.
Regarde à cette porte. Yoîs s*il s*offi:e à tes yeux quelque grand de ma cour.
H y D A s p E. Aman à votre porte a devancé le jour.
AsSUÉRUS.
Qu'il enue. Ses avis m'édaireront peut-êffç^
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