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��TRAGEDIE. tpi

SCE NE VI I.

NÉRON, JUNIE, NARCISSE.

Néron.

ADAME...

��JUNI E.

Non, Seigneur, je ne puis rien entendre. Vous êtes obéï. Laiflcz couler du moins Des larmes , dont Ces yeux ne feront pas témoins.

��SCENE VIII.

NÉRON, NARCISSE.

N É R. O N

11 É bien, de leur amour tu vois la violence,

NarcifTe ; elle a paru julques dans fon fîlence ;

Elle aime mon Rival , je ne puis l'ignorer.

Mais je mettrai ma joie à le défefpcrer.

Je me fais de fa peine une image charmante ;

Et je l'ai vu douter du cœur de fon amante.

Je la fuis. Mon rival t'attend pour éclater.

Par de nouveaux ibupçons, va, cours le tourmenter j

Et , tandis qu'à mes yeux on le pleure , on Tadorc ,

Fais-lui payer bien cher un bonheur qu'il ignore.

N A R.C I s s Efeul. La fortune t'appelle une féconde fois, Narcifle; voudrois-tu réfifler à fa voixî Suivons jufques au bout Ces ordres favorables ; Çt, pQurnous rendre heureux, perdons les niilerables.

Fin du fécond A6lc,

Nij

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