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D A N D I N.
Gommen€ci donc.
LE Souffleur. Meffieurs. Petit Jean.
Ho, pienez-Ie plus basj Si vous foufflcz fi haut , l'on ne m'entendra pas. Mcflieurs . . .
D A N D I K.
Couvrez vous.
Petit Jean» Oh ! M&f . . .
D A N D I N.
Couvrez-vous, vous dis-; Petit Jean. Oh, Monficur, je fais bien à quoi l'honneur m'obli^
D A N D I N.
Ne te couvres donc pas.
PETiTJEAN/e couvrant.
Meïïîeurs . . . i au Souffleur.) Vous , doucemcï Ce que je fais le mieux, c'eft mon commencement. Mefficurs , quand je regarde avec exaditude L'inconftance du monde , &c fa vicilîîcude ; Lorfque je vois , parmi tant d'hommes différeAs , Pas une Etoile fixe, &: tant d'Aftres errans; Quand je vois les Céfars, quand je vois leur fortun Quand je vois le foleil , & quand je vois la lune j
( Babyloniens. ) Quand je vois les états àcs Babyboniens
( Perfans , ) ( Macédoniens , ) Transférés àcs Serpens aux Nacédoniens ;
( Romains , ) ( dejpotiçue , )
Quand je vois les Lorains, de l'état Dépotique,
( Démocratique , ) Paiïcr au Démocrite , & puis au Monarchique ; Quand je vois le Japon . , .
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