ACTE IV, SCÈNE I. i3.
��ACTE QUATRIEME. SCÈNE I.
AGRIPPINE , BURRHUS.
BDRRHOS.
Oui, madame, à loisir vous pourrez vous défendre : César lui-même ici consent de vous entendre. Si son ordre au palais vous a fait retenir, C'est peut-être à dessein de vous entretenir. Quoi qu'il en soit , si j'ose expliquer ma pensée , Ne vous souvenez plus qu'il vous ait offensée; Préparez-vous plutôt à lui tendre les bras : Défendez-vous, madame, et ne l'accusez pas. Vous voyez, c'est lui seul que la cour envisage. Quoiqu'il soit votre fils, et même votre ouvrage. Il est votre empereur : vous êtes, comme nous, Sujette à ce pouvoir qu'il a reçu de vous. Selon qu'il vous menace ou bien qu'il vous caresse, La cour autour de vous ou s'écarte ou s'empresse. C'est son appui qu'on cherche en cherchantvotre appui . Mais voici l'empereur.
AGRIPI'INE.
Qu'on me laisse avec lui.
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