ACTE III, SCÈNE VIL i 37
��BRITANNICUS.
��Hé bien, Narcisse, allons. Mais que vois-je? C'est elle!
narcisse , à part. Ah, dieux! A l'empereur portons cette nouvelle.
SCÈNE VIL
JUXIE, BRITANNICUS.
JUNIE.
Retirez-vous, seigneur, et fuyez un courroux Que ma persévérance allume contre vous. Néron est irrité. Je me suis échappée , Tandis qu'à l'arrêter sa mère est occupée. Adieu ; réservez-vous, sans blesser mon amour, Au plaisir de me voir justifier un jour. Votre image sans cesse est présente à mon ame; Rien ne l'en peut bannir.
BRITANNICBS.
Je vous entends , madame; Vous voulez que ma fuite assure vos désirs, Que je laisse un champ libre à vos nouveaux soupirs. Sans doute, en me voyant, une pudeur secrète Ne vous laisse goûter qu'une joie inquiète. Hé bien , il faut partir !
JDNtE.
Seigneur, sans m'imputer...
BRITANNICUS.
Ah! vous deviez du moins plus long-temps disputer. Je ne murmure point qu'une amitié commune
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