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sance de l’Université de Coïmbra : révolte, à mains armées, et omission sacrilège de m’incliner devant une coutume religieuse (« Post tantosque labores »…) je m’étais installé dans une maison, un peu loin du centre de la cité, une de ces villas comme il y en a tant dans votre banlieue parisienne. Cette maison (qui est encore à louer ou à vendre) située en face d’un poste de météorologie, n’attirait pas beaucoup l’attention, quoique plus isolée que les autres, au milieu d’un jardin quelconque, entouré d’un mur, avec une grille donnant sur la route. Je m’étais réfugié là pour pouvoir travailler tranquille, car je tenais à regagner le temps perdu en vue des examens de fin d’année, puisque je faisais mon droit.

Je n’avais aucune raison pour me conduire mieux que les jeunes hommes de mon âge et il se trouvait, chez moi, une maîtresse… de maison, mère d’un bébé encore au berceau et deux bonnes à son service.