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Les domestiques : Joana, Brésille et Jeanton, s’en effaraient comme d’un mauvais présage.

Voulait-on remplacer la cuisinière ou allait-on enfin à l’enterrement de la tante Fantille, qui s’obstinait à ne pas mourir depuis qu’elle avait fui cette maison tombale ?

Fallait-il atteler le cabriolet ou seller un seul cheval ?

Aux cuisines, on parlait plus bas dès qu’il s’agissait d’aller jusqu’à la ville…