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e reprends, dans l’article du docteur
Saltas, paru aux Marges, un
paragraphe ayant trait à la collaboration
de Jarry au Figaro et à la fin
de sa libre vie au Tripode : « À la disparition
de la Revue blanche, il se retrouva
malheureusement dans une situation
des plus précaires ; il essaya de
faire du journalisme, lui qui ne concevait
pas qu’on pût soumettre son cerveau
à un travail régulier, accomplit à
date fixe, comme la besogne d’un artisan.
Recommandé au Figaro par Octave
Mirbeau, qui l’avait en grande
affection, il obtint de faire, pour ce journal,
un article par semaine sous le titre :
Fantaisies parisiennes.