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… entraînant le cerf volant dans sa course
Vit en face, à deux pas, son ennemi
Et, bondissant, il s’élança sur lui.
Mais ce qui était prévu arriva.
La nappe blanche sous son poids céda
Et dans le tonneau l’ours vint se noyer.
« Mon vieux, te voilà bon à empailler,
Dit Tintin en manière d’oraison,
Et maintenant rentrons à la maison. »
Cependant la foule était accourue
À la nouvelle, vite répandue,
De la victoire de Tintin-Lutin.
Deux paysans chargèrent le butin
Sur leurs épaules, et c’est, escorté
D’un groupe bruyant, chantant, exalté,
Qu’en grande pompe il revint au village.
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