Page:Rabier - Tintin-Lutin, 1898.djvu/37

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Il s’élança d’une allure effrénée.


Qui sautillait d’une patte légère.
Il mit un caillou dans son lance-pierre
Et, tendant son caoutchouc, le visa.
Le coup partit et le caillou rasa
L’animal qui s’enfuit à tire d’ailes
Échappant à une mort très cruelle.
.......................
Mais il me semble que j’ai oublié
De dire que Tom est un chien dressé
Qui, pour rapporter, n’a pas son semblable.
Cela explique l’ardeur incroyable
Qui s’empara de lui dès que partit
La grosse pierre, qui, dans son esprit,
Ne pouvait que lui être destinée.



— 33 —