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Médor croisa sur son chemin un de ces bas animés. « Singulier animal ! » pensa le chien en happant l’extrémité du bas. Sa stupéfaction se changea en ahurissement en se trouvant en présence du lapin qui venait de se libérer.

Un deuxième lapin recouvra sa liberté en s’accrochant aux cornes d’une chèvre. Un troisième affolé entra dans la salle-à-manger de la ferme.