Page:Rabier - Crétinot, 1922.djvu/40

Cette page a été validée par deux contributeurs.

La fumée qui se dégageait de la cire en combustion se répandit dans le terrier et les lapins, pour échapper à l’asphyxie, gagnèrent précipitamment la sortie. C’est là que Crétinot les attendait.

Assis au-dessus du terrier, il tenait dans ses mains un bas de telle façon que l’ouverture de l’objet de toilette encadrait l’entrée du terrier.