Page:Rabier - Crétinot, 1922.djvu/12

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Crétinot en fut quitte pour un bain glacé qui lui procura le plus beau rhume de cerveau qu’on ait vu en France depuis longtemps.

Jean vient de recevoir d’un oncle un pantin de bois pour sa fête. Tout de suite il veut le suspendre à un clou qu’il plante sur la surface, polie du réservoir. Deux coups de marteau bien appliqués et l’enveloppe du réservoir crève. Un jet d’eau s’échappe du trou et Crétinot est abondamment douché !