Page:Rabier - Crétinot, 1922.djvu/11

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Les piquets enlevés, les bûches se donnent immédiatement du champ, entraînant le jeune malfaiteur.

Le sol était en pente. Le trottoir roulant, improvisé par les bûches, conduisit doucement Crétinot à la rivière voisine dans laquelle il tomba en poussant des cris de désespoir. Heureusement, l’eau était peu profonde.