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Ah ! comme Caramel regrettait sa forêt natale, les rives fleuries du fleuve, les bonnes noix de coco qu’on allait cueillir là-haut, tout là-haut dans les cieux, et la société des éléphants, des girafes et des crocodiles qui avaient toujours une friandise à lui offrir !…
Jamais plus il ne reverrait le Congo, son vieux singe de père et sa vieille guenon de maman !
Et Caramel avait le cœur bien gros en pensant à toutes ces choses, et quand il était tout seul, sa besogne terminée, Caramel pleurait comme un petit enfant !…