L. 18 : Picz Mars. Pline, X, 18.
L. 25 : Dictame. Pline, VIII, 27.
L. 28 : De laquelle Venus guarit.
Hic Venus, indigno nati concussa dolore,
Dictamnum genitrix Cretœa carpit ab Ida.
L. 32 : Fouldre detournee. Pline, II, 55.
L. dernière : Elephans enraigez. Plutarque, Propos de table, II, question VII, 1.
Page 490, l. 1 : Taureaux furieux. Pline, XXIII, 7.
L. 7 : Euphorion. Elien, Histoire des animaux, XVII, 28.
L. 11 : En pays on quel le chant des Coqs ne ſerait ouy. « Magis canoram buccinam tubamque credit pastor ibi cæsa, ubi gallorum cantum frutex ille (sambix) non exaudiat. » (Pline, XVI, 37)
L. 27 : Ne doibt eſtre faicte de tous boys. Alexander ab Alexandre, iv, 12.
Page 493, l. 16 : Haulſer le temps. Jeu de mots. Le Dictionnaire de Trévoux l’explique par : « laisser le temps se mettre au beau ; » mais il est certain que cette expression, par une extension de sens assez difficile à expliquer, signifiait aussi « boire. » Oudin lui donne ce sens dans ses Curioſitez françoiſes ; et les exemples suivants prouvent qu’il a raison :
Si le temps eſt bas, ie le hauſſe,
En bien beuuant, voire du bon.
« Charles-Quint fit publier… vn edit portant que l’on n’eût plus à faire carroux, c’eſt-à-dire boire copieuſement, ce qui révolta ſi fort les Allemands qu’ils trouuerent touiours moyen de l’eluder, & l’empereur fut contraint de laiſſer hauſſer le tems aux bons biberons, comme ils eſtoient accoutumés. » (Brantôme, Vie de Charles Quint)