Ruach. vent, ou eſprit. Hebr. (p. 419.)
Herbes carminatiues. lesquelles ou conſomment ou vuident les vencoſitez du corps humain (p. 419).
Iambe Oedipodicque. enflee, groſſe, comme les auoit Oedipus le diuinateur, qui en Grec ſignifie Pied-enflé (p. 420).
Aeolus. Dieu des vents, ſelon les Poetes (p. 421).
Sanctinioniales. A preſent ſont dictes Nonnains. (p. 421.)
Hypenemien. venteux. Ainſi ſont dictz les œufz des Poulles & autres animaulx, faictz ſans copulation du maſle. Desquelz iamois ne ſont eſclous poulletz, &c. Ariſt. Pline. Collumella (p. 422).
Æolipyle. porte d’Æolus. C’eſt vn inſtrument de bronze clous, onquel eſt vn petit pertuys, par lequel ſi mettez eaue, & l’approchez du feu, vous voirez ſortir vent continuellement. Ainſi ſont engendrez les vents en l’air, & les ventoſitez es corps humains par eſchauffemens ou concoction commencee non parfaicte, comme expoſe Cl. Galen. Voyez ce que en a eſcript noſtre grand amy & ſeigneur monſieur Philander ſus le premier liure de Victruue (p. 422).
Bringuenarilles. Nom faict à plaiſir, comme grand nombre d’autres en ceſtuy liure (p. 423).
Lipothymie. defaillance de cœur (p. 423).
Paroxyſme. acces (p. 424).
Tachor. vn fic au fondement. Heb. (p. 426.)
Brouet. c’eſt la grande halle de Millan (p. 426).
Ecco lo fico. voila la figue (p. 426).
Camp reſtile. portant fruict tous les ans (p. 427).
Voix Stentoree. forte & haulte comme auoit Stentor, duquel eſcript Homere 5. Iliad. Iuuenal. lib. 13. (p. 438.)