Page:Rabelais - Œuvres, édition Lacroix, 1857.djvu/88

Cette page n’a pas encore été corrigée

QuanJfcul au poinct de lire le chapitre, On n’y Iroiiua que 1( s cornes d uns ; veau, le (disoil il) sens le fond de ma mitre Si froid qu’autour me morfond le ccrueau : On leschauffa d ung parfum de naueau’ ; l’U feul content de soy tenir es aires , Pourueu qu’on feisl unglimonnier nouueau À. tant de gens qui sont acariâtres. Leur propos feul du trou de sainct Patrice, De Giibalhar, et de mille aultres trous ; Son les pourroil réduire a cicatrice. Par tel moyen que plus n’euss’iil la loux : Veu qu’il sembloit impertinent a tous Les veoir ainsi a chascun vent haislcr. Si d’aduenture ilz estoyent a poinct clous ’. On les pourroil pour houstaiges bailler. En cesl arresl le courbeau feut pelé Par Hercules, qui venoit de Libye. Quoy ? dislMinos, que n’y suisie appelle.’ Kxceplé moy tout le monde on conuie : Et puis Ion veult que passe mon eniiie A les lournir d’huytres, et de ^renoilles .le donne au diable , en cas que de ma vie Preigne a mercy leur ventre de quenoillcs. Pour les matter suruint Q. B. qui clope , Au saufconduict des mystes ’ sansonnetz. Le tamisseur, cousin du grand Cyclope, Les massacra. Chascun mousche son nez : En ce guerct peu de boulgrins ’ sont nayz yu’on n’ayt berné sus le moulin a tan. (Jourez y tous et alarme sonnez , Plus y aurez que n y eiisles antan ^ Bien peu après 1 oyseau de lupiler Délibéra pariser ’ pour le pire : Mais, les voyant tant fort se despiter, Craignit qu’on mist ras, ius, bas, mat l’empire, El mieulx ayma le feu du ciel empyre Au tronc rauir ou Ion vend les sorètz yue 1 aer serain, contre qui Ion conspire, Assubieclir es dictz des massoretz ’. Le tout conclud feul a poincle aflilee, Maulgré Aie, la cuisse heronniere, Qui la s’assit, voyant Penthasilee Sus ses vieulx ans prinse pour cressonnière. Chascun crioit : villaine cnarbonniere, T appartient il toy trouuer par chemin ? Tu la tolluz la romaine bannière. Qu on auoil faicl au traicl du parchemin. Ne feust luno , qui , dessoubz l’arc céleste, Auec son duc tendoit a la pipee , On lui eusl faict ung tour si Iresmoleste, Que de tous poinctz elle eusl esté frippee. L’accord feut tel que d’ycelle lippee Elle en auroit deux oeuiz de Proserpine : Et , si iamais elle y eslolt grippée , On la lieroit au mont de 1 Albespine. Sept moys après, oustez en vingleîdcux, • «avet. — ’ Clos. — ’ Prêtres. — ’ Pelils b ... — > L an passé. Docleursjtiifs.