Page:Rabbe - Album d’un pessimiste, I, 1836.djvu/254

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Ceux donc que l’avarice des pirates n’a pu retenir, la rage affamée des lions dévorer, ni les profonds abîmes de la mer engloutir, une petite urne étroite les contient tous deux dans ses flancs… Je voulais, ô voyageur ! te faire savoir cette infortune ; maintenant, adieu.