Page:Raban - Justine, ou Les malheurs de la vertu, 1836.djvu/403

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XIX.

DEUX MONSTRES.

Le jour allait finir ; Justine n’était pas encore remise de l’assaut terrible que lui avait livré le génie du mal par la voix du vieux Guibard, lorsque le comte de Bonvalier entra chez elle.