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AFFREUX COMPLOT.
rieur, qu’elle s’arrêta pour ainsi dire involontairement.
— Oh ! oh ! reprit le conducteur, le temps des grimaces est passé.
Et, la saisissant à-bras-le-corps, il l’emporta jusqu’au fond de l’allée. Justine poussa un cri d’effroi.
— Allons, silence ! on ne veut pas vous faire le moindre mal.
L’excès du danger qu’elle croyait courir rendit alors à la jeune fille toute son énergie.
— Vous pourrez me faire mourir, dit-elle, me faire endurer les plus affreuses tortures ; mais vous n’obtiendrez jamais que je prête les mains à l’exécution de vos projets épouvantables.
— Allons donc ! c’est bien le moment de