Page:Réveillaud - Histoire du Canada et des canadiens français, de la découverte jusqu'à nos jours, 1884.djvu/549

Cette page a été validée par deux contributeurs.

beau de notre génie national s’obscurcissait et si des souffles pestilentiels venaient à l’éteindre, le foyer où se ravivera, plus étincelante et plus lumineuse, la flamme de notre littérature immortelle.