de cire, comme Pharamond sur le pavois.
Deux gardes veulent alors mettre
la main sur lui ; mais le feu électrique
jaillit de leurs mains et ils sont
jettés à la renverse. Deux autres ont
le même sort. Le charlatan triomphait ;
enfin le Podesta, plus instruit,
s’avance, le saisit lui-même,
l’arrache de son isolement, et le livre
aux soldats.
On arrête de même le Baron, Paolo et Taillandino qui se glissaient dans la foule ; mais trop bien signalés pour s’échapper. On les entraine dans les pièces voisines pour nous laisser habiller et bientôt après on revient, en me témoignant, malgré les demandes de Durand auquel je devais ma délivrance, le regret de ne pouvoir me mettre encore en liberté sans examen ; on verbalise, on nous sépare, et d’après l’ordre reçu, on nous fait monter