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plus vivement : « Un fils, une fille… ou deux au fond de mon con, me disait-elle, cher vit de mon père !… » Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille… « Con céleste, con divin, con de mon vit… est-ce moi… est-ce un roi, est-ce un prince, est-ce le beau commis aux aides qui t’avons foutue dans le con de ta putain de mère ?… Ah ! mon vit te rend ma fille en mêlant mon foutre au tien… Divine, sacrée garce, adorable bougresse enculée, il faut que je t’encule aussi… Non, ton foutre m’est trop précieux pour que je le perde ! — Fous-moi encore tant que tu le voudras, même en cul, en bouche ou en tétons. » Je l’approuvai avec respect et lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours en l’amenant chez son amie ou en la ramenant : « Mon premier motif était de mieux voir le danger, le deuxième d’entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu fais bander. L’un dit : Quel mouvement de cul ! oh ! garce, si nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi et je t’enconnerais… — Je l’ai entendu, me dit en souriant madame Poilsoyeux. — Un autre, ce soir, s’est secoué le vit en pleine rue… Maman, disait-il délicieusement, je me branle, je décharge à ta divine intention. — Je l’ai entendu aussi, j’ai souri, il a aussitôt ajouté : Oh ! si vous êtes putain, une divine putain ! cinquante louis pour trois coups en une heure, ou chez moi ou chez vous… Je demeure rue de Bucy, au troisième, no 16. — Un joli fat, repris-je, disait assez haut : Mon vit dans sa bouche et ma langue dans son con… et il se branlait, branlait, branlait !… — Je l’ai vu, je lui ai donné un petit coup d’éventail sur le vit ; il m’a bien touchée, il