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doit te prendre que le con. Ni moi ni Timon ne te suffirions ; nous n’avons pas le vit assez gros ; ce ne sont que des vits à pucelage ; mais… j’ai plusieurs ressources. Je sonderai celui que tu préfères, puis les deux autres, s’il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés, je sais leur adresse, je ne vous compromettrai pas, je ne te demande que de la soumission. — Entière, divin papa… » Elle se trémoussa un peu et déchargea. « S’il te survient beaucoup de tempérament, comme je crois l’entrevoir, j’aurai soin que tu ne manques pas de vits ; tu verras comme tu seras régalée. Je ne suis plus d’un âge à te rassasier de volupté ; aussi je te le ferai mettre par de gentils jeunes gens, graduant la grosseur des vits. » Ici ma provoquante fille s’agita en me disant : « Mon cher vit papa, permets que je foute en con, à l’intention de Timon, le vit de mon cul ; tu m’as convertie, il m’enconnera, mais en ta présence… — Oui, oui. » Je la saccadai ; elle s’écria : « Fourgonne, vit de mon cher Timon, fourgonne mon con, fais-moi pâmer, bougre !… Foutre ! ramone ! ramone !… je décharge ! (et elle déchargeait en se roidissant)… ah ! ah !… mon cher papa… ah ! ah ! ah !… (avec soupir), je n’ai jamais eu tant de plaisir qu’à cette décharge ! »

Nous avions de la lumière ; ma fille se mit sur le bidet pour se rafraîchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les couilles dans l’eau froide pour me faire débander. Je demandai à ma fille qui lui avait appris les expressions dont elle s’était servie en déchargeant.

« Dès la troisième semaine de notre mariage, me