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et comment j’avais engrossé les trois femmes que j’avais enconnées !… « Ah ! ciel ! tu es bien indiscret ! — Je ne le suis avec toi que parce que tu es ma sœur aînée et que je t’ai foutue ! »

Le récit que je venais de débiter, les tétons de ma sœur, sa chaussure, me faisaient rebander. « Divine Marie, lui dis-je, je vais te foutre encore ?… — Mais mon mari ? — J’ai poussé le verrou. » Elle me pressa la tête contre son beau sein en me disant tout bas : « Petit coquin, fais-moi aussi un enfant ! » Je la réenconnai et jouis sans m’évanouir.

La belle Marie n’avait pas encore eu d’enfant : je fus père de mademoiselle Beauconin, fille unique de mon beau-frère de ce nom.

Je passerai toutes les fouteries communes ; ce n’est qu’à force de volupté, de tableaux libidineux tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu’on peut combattre avantageusement, dans le cœur et l’esprit des libertins blasés, les goûts atroces éveillés par les abominables productions de l’infâme et cruel de Sades ; ainsi je réserve toute ma chaleur pour décrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce qu’a pu inventer l’imagination bourrelée de l’auteur de Justine.




CHAPITRE V.

Du bon mari Spartiate.

Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens de promettre, rapporter en peu de mots une