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laquelle son mari, couché de l’autre côté d’elle, dit : « Courage, ma femme ! hausse le cul ! »

VI. Cupidonnet avec sa femme, le cul découvert. — Il est appelé par sa femme debout, mais courbée sur un lit, troussée au-dessus des reins et montrant le plus beau cul. Il court à elle, le vit bandant : « Si j’ai la vérole (pense-t-elle), fous-moi en cul ! »

VII. Cupidonnet et Conquette. — Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un garde-sel. Elle est à découvert et se trémousse tout endormie quand elle sent la langue entre les lèvres de son conin à poil naissant : « Ah ! ah ! ah ! ça me chatouille ! »

VIII. Conquette et Cupidonnet. — Conquette qui vient d’être gamahuchée et que Cupidonnet, le vit bandant, tâche d’enconner : « Ah ! ce joli gamahuchage, tant que vous voudrez. »

IX. Cupidonnet et Victoire. — Cupidonnet tenant Victoire troussée jusqu’au dessus du genou et se faisant empoigner le vit qu’elle ne voit pas : « Mignonne, serre-moi le doigt, fort, fort ! »

X. Conquette, Culant, Vitnègre. — Conquette assise devant le feu entre Vitnègre et Culant déculottés, bandants, elle retroussée : « Allons ! bougresse ! branle-nous tous deux. »

XI. Cupidonnet, Conquette, Vitnègre, le moine. — Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre, le vit en l’air, montrant à nu les appas de sa femme ; un moine debout dans le cabinet, vu par le père de Conquette, caché derrière un sopha et qui n’est pas vu ; le moine tenant en main son vit monstrueux, regarde ta scène : « Troussée, putain, au-dessus des reins ! »