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Les épreuves de l’Anti-Justine se terminent par la description minutieuse de trente-huit des soixante figures libres dont Rétif se proposait d’orner son livre.

SUJETS DES ESTAMPES.

I. Cupidonnet et Genovefette. — L’adolescente, à quatre pattes, troussée, et le jeune Cupidonnet, à genoux, la couvrant cyniquement, lâchant de l’enfiler. Elle se cambre les reins pour être atteinte : « Hausse, hausse le cul ! »

II. Cupidonnet et le con soyeux. — Cupidonnet sur Madeleine, âgée de dix-sept ans, dont il lèche le con poilu ; elle est sur le dos, les jambes écartées, et se prête en poussant sur la bouche de son jeune frère, qui la gamahuche : « Darde ta langue dedans, cher petit ami ! »

III. La mère foutue. — Cupidonnet enconnant une femme de quarante ans, au lit, les draps à terre. Il enconne pour la première fois et paraît se pâmer. La femme : « Jamais ! jamais ! vous ne m’avez donné tant de plaisir. »

IV. Cupidonnet et la belle Marie. — Cupidonnet évanoui, le vit en l’air, après avoir déchargé dans le con de sa sœur, la belle mariée à Paris, et parée comme un jour de fête. Marie dététonnée, con et cul visibles. Elle dit : « Ha ! grand Dieu ! c’est Cupidonnet ! »

V. Cupidonnet et l’horlogère. — Cupidonnet au lit, sans couverture ni draps, foutant la belle horlogère, à