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possible, il en sera question ; la quatrième avait le poil du bijou tellement soyeux que c’était une volupté ; les autres étaient laides ; mes puînées étaient toutes trois provoquantes.

Or ma mère préférait Genovefette, la plus voluptueusement jolie, et dans un voyage qu’elle fit à Paris, elle lui rapporta des souliers délicats. Je les lui vis essayer, et j’eus une violente érection. Le lendemain, dimanche, Genovefette mit des bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinçait la taille, et avec son lubrique tour de cul elle faisait bander, quoique si jeune, mon père lui-même, car il dit à ma mère de la renvoyer. (J’étais caché sous le lit pour mieux voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette.) Dès que ma sœur fut sortie, mon père la renversa (ma mère) et la carillonna sur le pied du lit sous lequel j’étais, en lui disant : « Oh ! prenez garde à votre fille chérie, elle aura un furieux tempérament, je vous en avertis… mais elle a de qui tenir, car je baise bien, et voilà que vous m’en donnez, du jus du con, comme une princesse… » Je m’aperçus que Genovefette voyait et écoutait. Mon père avait raison ; ma jolie cadette fut dépucelée par son confesseur, ensuite foutue par tout le monde, mais elle n’en est que plus sage à présent.

Dans l’après-dînée, Genovefette vint au jardin, où j’étais seul ; je l’admirai, je bandai ! L’ayant abordée, je lui pressai la taille sans parler ; je lui touchai le pied, les cuisses, un conin superbe et joli s’il en fût jamais ! Genovefette ne disait mot ; je la fis mettre à quatre pattes, c’est-à-dire sur les mains et sur les