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ous !… je décharge… avale… avale !… gorge-toi de foutre, ma reine ! » Il dégorgea vivement, quoique je lui suçasse encore le vit. « C’est trop de plaisir, dit-il, on en mourrait ! » Il me fit prendre quelques cuillerées de café pour me rincer la bouche, puis je me remis à le branler. Il me suça les tétons, me fit darder ma langue et voulut me gamahucher ; je m’y refusai, devant être foutue le soir. Il rebandait, je secouai, je chatouillai, le foutre revint et j’en avalai une nouvelle dose, ce qui eut lieu trois fois de suite ; le manque de temps seul nous obligea à nous séparer.

» Le soir à neuf heures, une voiture vint me prendre et me mena chez mon père ; on y soupa, coucha et foutit comme la veille. Le lendemain, après le chocolat, j’allai faire mon déjeuner de foutre chez Guac. De retour chez ma marchande, son mari, sans doute instruit par le frère de sa femme, voulut me le mettre. Je m’y refusai absolument ; il s’en plaignit à sa femme, qui m’en fit reproche, mais lui ayant dit que mon prétendu me l’avait mis dix fois en gardant mon père avec moi, elle fit mes excuses à son mari en le priant d’attendre son tour.

» Le soir on vint me prendre. Madame Viédase, ma marchande, me dit à l’oreille : « Tâche de ne pas être foutue, afin que mon mari puisse te le mettre demain : il s’en meurt. » Je trouvai mon amant chez mon père. En soupant, on parle de Guac. Mon amant dit qu’ayant été enconnée devant lui, je ne devais pas redouter la grossesse. « C’est pourquoi, ajouta-t-il, j’enfourne à plein con et décharge au fond. — Je vous mets le vit dans le conin de ma fille avec plaisir, dit