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dant. Il me réenconna trois fois, et toujours je déchargeai. Je me lavai en disant : « J’épuiserais dix hommes. » Je lui recommandai d’instruire mon futur de ce qu’il fallait faire pour m’enconner ; je lui dardai ma langue et je partis.

» J’avais été foutue vingt-cinq fois dans la journée, sept fois par mon père. Je retournai chez ma marchande, mais tous les hommes que je rencontrais me tentaient. Que les putains sont heureuses ! pensais-je, elles attaquent qui elles veulent. Tout à coup une idée me vint : allons chez Guac, je lui dirai de me pommader ; qu’il m’estropie, mais qu’il me foute ! J’y volai.

» Il était avec un beau jeune homme, qu’il fit cacher au bruit de mes talons, mais je l’entrevis par le trou de la serrure. Guac me reçut mystérieusement et me conduisit dans la pièce obscure où je lui avais vu cacher le jeune homme. « Ma reine, ma belle future, me dit il, je crois que je pourrai vous enfiler aujourd’hui ; ayez seulement de la complaisance… — Oui, mais pommadez… ma tante… — J’entends… » Je sentis qu’il me remettait à une main plus douce ; on me prit les tétons, le con, on me darda la langue ; je caressai, on me troussa, je fis beau con. L’on se mit sur moi ; je sentis qu’on m’insérait un morceau de beurre frais à l’entrée de la vulve, au trou du con. On poussa, je secondai, m’apercevant avec étonnement qu’on ne me faisait presque point de mal. Enfin, on parvint au fond sans m’avoir blessée et l’on y déchargea… L’abondance et la douce chaleur du foutre me firent parler ; avec un plaisir, des élans, des transports in-