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coup de croupe en avant, passe les jambes sur ses reins et serre en remuant ; bon… bon !… saccadez-vous !… bon !… — Ah ! dieux !… quel plaisir, s’écria le fouteur, comme elle a le con étroit… le mouvement délicieux ! » Je lui dardai ma langue en murmurant : « Mon cœur… mon roi… je t’adore !… — Ah ! la chère petite amie, elle est tendre… je décharge… je la fous… — Ah ! il me fout, mon père… tous les hommes foutent-ils !… ah ! mon père, quel plaisir !… mon âme va sortir par le trou… qu’il me fait… » Je déchargeai en me raidissant. « Ah ! la petite reine, s’écria le fouteur, elle décharge !… Mon père, donnez-la moi pour femme, je l’ai dépucelée, je l’épouse !… »

» Mon père, qui avait ses desseins sur moi, refusa ; il en résulta que le procureur enragé s’acharna sur moi et me foutit dix-huit fois ; mon père fut obligé de l’ôter de sur moi et de le porter chez lui : il ne pouvait plus marcher. Quant à moi, j’étais à peine fatiguée. Mon con lavé, rafraîchi, il n’y parut plus. Au retour de mon père, le voyant tout ému à la vue de mes tétons, je lui dis : « Si vous bandez, satisfaites-vous en me foutant deux ou trois fois. — Oh ! quelle scène ! s’écria-t-il, mais tu as un con, un tempérament impitoyables. Ils feront notre fortune : voyons si tu déchargeras encore. Foutons !… » Et en m’enconnant, il me loua fort de m’être avouée sa fille et du soufflet donné. « Les fouteurs dédaignent les foutues, mais avec toi ce sera le contraire ; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-là. — Je décharge !… m’écriai-je. — Et moi aussi », me dit-il en me sacca-