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LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS

Je tâche d’ébranler les gonds et les verrous,
Tandis que Toi, saignant du poitrail aux genoux,
T’acharnes du sabot à rompre le battant
Et de l’aube à la nuit, furieux, dans le vent,
Agites, tour à tour, sombres ou embrasées,
Les plumes d’ombre et d’or de tes ailes brisées !