Page:Régnier - La Cité des eaux, 15e éd.djvu/135

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Mais nous, nous n’avons pas en cette nuit mortelle
Qui déjà nous entoure et qui rampe à nos pieds
De fontaine éloquente et de dieux forestiers ;
Nous avons peur de l’ombre, et nous redoutons d’elle
L’impassible sommeil qui nous prend tout entiers.