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— Baise la croix. Si tu mens, tu seras damné. Pila la baisa.
— Jure maintenant que ce n’est pas toi qui l’a tuée.
— Je te dis que non. Syssoïko est bien malade, va !…
Le diacre hésitait encore : semblable histoire l’effrayait, à cause des suites qu’elle pouvait avoir. Pila tomba de nouveau à genoux devant lui.
— Ne me perds pas !
Deux heures plus tard, Pila conduisait à Podlipnaïa le pope et le diacre dans leur traîneau attelé de son cheval et de celui du prêtre.