Jeanne, vicomtesse de Fronsac et devint capitaine de Rennes en 1356.
Le fils de Guillaume fut Jean, sire de Penhoat, amiral de Bretagne en 1401. Jean eut de sa première femme Jeanne du Perrier un fils, Jean sire de Penhoat qui se maria à Marguerite de Malestroit et mourut sans enfant. Son second mariage avec Marguerite de Rougé lui donna un autre enfant, Guillame baron de Penhoat, vicomte de Fronsac, etc… Guillaume épousa Françoise du Maillé et devint chambellan du duc de Bretagne. Il ne laissa qu’une fille, Françoise de Penhoat, dame de Penhoat, etc…, chevalière de l’Hermine, qui porta aux Rohan les immenses biens de sa maison en épousant en 1475 Pierre de Rohan, sire de Gié, maréchal de France.
En 1522, leur fils, Charles de Rohan, était seigneur de Penhoat.
Ses descendants vendirent ce fief aux Rosmadec. Les Kerhoent de Coatanfao l’achetèrent ensuite et le laissèrent en héritage au vicomte Du Rumain. Enfin en 1752, Jacques de Kérouartz l’acheta au prix de 160.000 livres de principal et 1.200 livres d’épingles ou pot de vin.
Les seigneurs de Penhoat étaient hauts justiciers, premiers prééminenciers et fondateurs des églises paroissiales de Saint-Thégonnec, Taulé, Plouvorn, Plougar, de l’église tréviale de Sainte-Sève, ainsi que de l’église et collégiale de Notre-Dame du Mur.