de la dicte parroisse du costé de nostre chapelle prohibitive de telle grandeur qu’ils croiront bon estre, sans toutefois préjudicier ny desroger à nos droicts honoriffiques et préminances en la dicte esglise, desquels estat et procès-verbal en sera faict à nostre présance, ou à celle de celluy que nous ferons condesandre à notre absence, en cas qu’il seroit nécessaire de desmolir nos vieux murailles où sont à présent nos préminances, lesquels en cas de novalité du bastiment qui est à présent en la dicte esglise seront mis et aposés tant aux vitres qu’ailleurs conformément qu’ils sont posés.
- « Donné à nostre manoir, ce jour seizième
- de décembre mil six cents cinquante et deux.
- « Donné à nostre manoir, ce jour seizième
- « Pour François du Parc,
- « Simon, notaire. »
Le seigneur de Panfao qui possédait une arcade donnant sur le pignon de la chapelle du Herlan, autorisa la fabrique à enlever cette arcade par un acte notarié daté du 6 juillet 1653 [1].
Abside.
- ↑ Voir cette autorisation dans la Monographie de l’église de Saint-Thégonnec, p. 69.