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poésie écrite cette poésie traditionnelle et orale ; et sa mission est de transcrire à sa manière les chants des derniers rhapsodes que la civilisation va achever de détruire.

En achevant ces lignes, qu’il me soit permis d’exprimer ma reconnaissance pour les personnes qui m’ont particulièrement aidé de leurs conseils. C’est surtout un devoir pour moi de rendre grâces à M Fauriel, qui m’a prêté tant de fois l’appui de sa haute et profonde critique. Puisse cet ouvrage ne paraître à personne indigne d’une aussi généreuse sollicitude !


Paris, octobre 1835.