Page:Quillard - Les Mimes d’Hérondas, 1900.djvu/182

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

d’Athénée, VIII, 359e. Athénée ne donne pas le passage en entier ; il y a une lacune dont la longueur ne peut être évaluée entre la première et la seconde citation : nous savons seulement que celle-ci terminait le morceau.

1. Pour le second. On a adopté ici, de préférence aux textes de Kaibel, de Bergk ou de Meineke, la conjecture de Crusius. Il cite à l’appui de sa conversation le proverbe touchant « l’Arabe joueur de flûte qui chante pour un drachme et s’arrête pour quatre ». Il aurait pu encore mieux invoquer la cantilène des enfants rhodiens quêtant « pour l’hirondelle » au mois de Boèdromiôn, comme lui-même quête « pour la corneille » ; les enfants chantaient. « Nous en irons-nous ou recevrons-nous ? Bien si tu donnes ; sinon, nous ne partirons pas. »