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Coupes dans le second /tdmM~C/t6.

COUPE APRÈS LA HUITIÈME SYLLABE.

.Désarmé, je recule, et rentre ; alors Orphise,

De sa frayeur mortelle aucunement remise. CORN. L’Attique est votre bien. Je pars, et vais pour vous Réunir tous les vœux partagés entre nous. RAC. Et périssez du moins en roi, s’il faut périr. In. I ! prend à tous les mains ; il meurt, et les trois frères Trouvent un bien fort grand, mais fort mêlé d’affaires. [LA FONTAINE.

La Harpe citeavec étogete passage suivant deRoucher

Mais trop souvent la neige, arrachée à la cime, Roule en bloc bondissant, court d’abtme en aMme, Gronde comme un tonnerre, et grossissant toujours, .A traversles rochersfracassés de son cours,

Tombe dans les volcans, s’y brise, et des campagnes Remonte en brume épaisse au sommet des montagnes. COUPE APRÈS LA NEUVIÈME SYLLABE.

Pour m’en éclaircir donc, j’en demande ; et d’abord Un laquais effronté m’apporte un rouge-bord. BOIL. Cependant le prélat, l’oeil au ciel, la main nue, Bénit trois fois les noms, et trois fois les remue ; Il tourne le bonnet, l’enfant tire, et Brontin

Est le premier des noms qu’amène le destin. lo. Chacun peut à son choix disposer de son âme La vôtre était à vous, j’espérais : mais enfin

Vous l’avez pu donner sans me faire un larcin. RAc. Le ciel brille d’éetairs,s’cn et parmi nous Jette une sainte horreur qui nous rassure tous. Je l’ai trouvé couvert d’une affreuse poussière,