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Que dans l’éternité j’aurais lieu de bénir,

La Mort ; et c’est de vous que je puis l’obtenir. CORN. Tout fuit, et sans s’armer d’un courage inutile, Dans le temple voisin chacun cherche un asile. RAC. J’entre. Le peuple fuit, le sacrifice cesse. !D. Henri vole à leur tête et monte le premier : Il monte, il a déjà, de ses mains triomphantes, Arboré de ses lis les enseignes flottantes. VOLT. COUPE APRES TROIS SYLLABES.

Il la suit, et tous deux, d’un cours précipité, De Paris à l’instant abordent la cité. BOIL.

Tu te souviens du jour qu’en Auiide assemblés, Nos vaisseaux par les vents semblaient être appelés ; Nous partions, et déjà par mille cris de joie, etc. RAC. Tout se tatt et moi seul, trop prompt à me troubler, J’avance des malheurs que je puis reculer. In. La fortune a, dit-on, des temples à Surate ; Allons là. Ce fut un de dire et s’embarquer. LA FONT. Les ligueurs devant lui demeurent pleins d’effroi ; Ils semblaient respecter leur vainqueur e~ leur roi Ils c~d<. Mais Mayenne à l’instant les ranime. VoLT. COOPE APRÈS QUATRE SYLLABES.

As-tu vu quelle joie a paru dans ses yeux f

Combien il est sorti satisfait de ma haine ? p

Que de mépris ! Ts. CORN.

Eh bien, allez ; sous lui fléchissez les genoux. BOIL. Que les peuples entiers dans te sang soient noyés Je veux qu’on dise un jour aux peuples effrayés .Il fut des Juifs RAC.

Si ma fille une fois met le pied en Aulide.

Elle est morte Calchas, qui l’attend en ces lieux. Fera taire nos pleurs, fera parler les dieux. !D.