positions après, devant, malgré, et quelques autres également disyllabes, sont tolérées à cette place :
Si toutefois, après ce coup mortel du sort. ConN. Je me jette au-devant du coup qui t’assassine. le. Le feu sort à travers ses prunelles humides. BOIL. Souffrirez-vous qu’après l’avoir percé de coups,etc.RAC. J’y suis encor, malgré tes infidelités. ID.
Il en est de même des adverbes p~ut~, sit6t, ainsi,
loin, etc., séparés de leur complément, et aussi de quelques conjonctions
Ajoutez-y, p !u que d’en diminuer. CORN.
Aimer la gloire autant que je l’aimai moi-même. RAC. Embrase tout, sit6t qu’elle commencé à luire. Mourir en reine, ainsi que tu mourras en roi. Ils s’arrêtent non loin de ces tombeaux antiques. ID. 8° Des mots ordinairement privés d’accent, comme après, avec, ce, le, deviennent quelquefois accentues c’est lorsqu’ils sont employés sans complément. Ils peuvent alors se placer à la césure
Et n’employons après que nous à notre mort. CoRN. Il avait dans la terre une somme enfouie,
Son cœur avec, n’ayant autre déduit t
Que d’y ruminer jour et nuit. LA FONT. Maint d’entre vous souvent juge au hasard,
Sans que pour ce tire à la courte paille. h).
S’écrie Épargnez-le nous n’avons plus que lui. FLOR. ~6 ?Mar~M6 générale. Dans les genres soutenus, l’on est bien plus exigeant pour la césure que dans les t. Vieux mot qui signiSe plaisir, joie.