une césure obligée après la quatrième syllabe ou le second pied
Que du Seigneur )a voix se fasse entendre. J’ai vu )’impie)adoré sur la terre.RAC
Toutes les règles que nous avons données pour la césure du vers de douze, syllabes, sont applicables à celui de dix.
La césure est insuffisante dans’ les vers suivants Les forêts sont-des grands princes aimées. MAROT. Pour être à tous tes humains épanduo.
Que tout autour de moi tu viens étendre. In. ENJAMBEMENT. Le vers de cinq pieds est celui que Marot a employé le plus souvent. Cepoëte a consacré l’enjambement de deux pieds, ou le rejet de quatre syllabes
D’autant. que plus plaisent les. blanches roses, Que ~aM&fpM, plus j.’aimais à sonner
De la musette, et la 6s résonner, etc.
Cet enjambement esb non-seulement : u.ne des licences, mais un des agréments du &tyle :maro~M6. ;
Auprës des rois il est de pareils’fous’ : A vos dépens its font rire le ma !tre. Pour réprimer leur babil, irez-vous. Les maMrat~t’ ? Vous n’êtes, pas. peut-être~ Assez puissant. Il faut les engager
A s’adresser à qui peut se venger : LAFon’r ;. J’ai peu !oué. J’eusse mieux fait encore De louer moins. Non que pincer sans rire Soit de mon ~ou< je tiens qu’en fait’d’écrire, Le meilleur est de’rire sans pincer. Rouss.