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sur les vignobles, etc. Par ces bagatelles, je commençai à me faire la réputation d’un homme malin et spirituel. Les gentilshommes me favorisaient et me laissaient à peine le temps de servir Don Diégo, pour qui j’eus toujours le respect que je lui devais, en revanche de l’extrême amitié qu’il me témoignait. Ce qui n’empêchait pas cependant, comme on l’a vu, que je ne misse sa bourse à contribution en m’entendant avec la gouvernante.